Élisabeth Daniels [Fini]

Daniels
Élisabeth

feat – Skye Sweetnam -

« Il faut oser pour doser. Moi, je vais commencer par oser. »

Liz

Identity

› Nom(s) « Daniels
› Prénom(s) « Élisabeth
› Surnom(s) « Liz, Lisbeth.
› Âge « 16 ans.
› Lieu de naissance « Los Angeles, Californie, États-Unis d’Amérique.
› Nationalité/Origine « Américo-coréenne
› Statut « Yu Gwan Sun’s student
› Sexualité « Bisexuelle
› Situation amoureuse « célibataire

Who I Am

“ caractère

« Moi ? Moi, je suis le genre de fille auquel il ne faut pas se fier. »
Voila évidemment une phrase à laquelle, si vous êtes sain d'esprit et donc, pas trop masochiste, vous obéirez sans faire d'histoires. Oui, Élisabeth n'est pas le genre de demoiselle à laquelle il faut accrocher une étiquette pour ne plus l'y enlever par la suite. Son caractère peut facilement être qualifié d'étrange et, en premier lieu, de puéril. En effet, Lisbeth est une vraie gamine. Insouciante, elle s'amuse de tout et – surtout – de n'importe quoi, riant pour un oui pour un non, se moquant joyeusement pour telle ou telle raison. Dotée d'une empathie plutôt élevée, elle est devenue une professionnelle en matière de comportements humains : elle adore analyser les gens, les décortiquer... cela constitue un jeu et Élisabeth adore jouer. Pour elle, rien n'a vraiment d'importance, si ce n'est se faire plaisir, se faire remarquer (elle ne supporte pas être ignorée), et rire, rire un maximum. Vous comprenez donc qu'elle est difficile à supporter... un jour. Le lendemain, elle peut s'être métamorphosée en une jeune fille calme et sérieuse ce qui, malheureusement, ne dure jamais très longtemps. C'est pour cela qu'il ne faut pas se fier à elle : son jeu favori, à défaut d'être celui de bousculer l'ordre établi, consiste à montrer aux autres une Élisabeth qu'elle n'est pas.
Mais ce n'est pas parce qu'il ne faut pas se fier à elle qu'il ne faut pas se confier. Et oui, contre toutes attentes, Liz est une jeune fille, une fois le masque tombé, plutôt sympathique. Attentive à ceux qu'elle aime, loyale envers ses réels amis, elle est une poutre pour les siens et ne les laisse jamais tomber, quelles que soient les circonstances. Mais les premières étapes de l'amitié avec elle ressemblent plutôt à du baby-sitting en milieu hostile... Alors, prêts à affronter la Reine des Gosses ?

“ physique

A la vision d'Élisabeth, vous ne pouvez qu'avoir une idée sur son caractère. Son physique n'est que la conséquence de son mental et cet aspect enfantin, elle fait tout pour l'accentuer. Naturellement, son visage rond et plutôt poupin rappelle ceux des enfants en bas-âge. Sa peau, claire malgré ses longues années à vivre en Californie, est souvent rehaussée d'un soupçon de poudre rose, lui donnant continuellement l'air de rougir. Parfois, Élisabeth se délecte d'un surplus de maquillage, n'hésitant pas à se faire un loup multicolore autour des yeux. Sa bouche charnue est bien souvent habillée de rouge, jurant avec la pâleur de son teint. À la base, ses cheveux sont châtain mais, après de multiples colorations et décolorations allant du orange aux mèches vertes en passant par le blond platine, ils ont désormais un brun à peine plus foncé que la couleur initiale, surmonté d'un casque de cheveux pourpres qu'elle teint parfois (à la bombe) en bleu fluo. Cette chevelure pour le moins excentrique lui tombe un peu plus haut que le sternum, encadrant sans structures son visage d'ange. Et au milieu de tout ce bazar, devinez ce que l'ont trouve... Des yeux d'un bleus marin assez charmants, en amande, attirent malicieusement les regards. Usant et abusant du mascara, Lisbeth les pare souvent de longs cils noirs... Mais ce n'est pas tout. Du haut de son mètre soixante-dix, elle arbore avec panache à la fois les habits d'une enfant de six ans déguisée en princesse Barbie, mais aussi des combi-pantalon tout cuir. Dans son imposante garde-robe, on peut aussi trouver des vestes en jean, des milliers de pins colorés, des jupes froufroutantes et des petits noeuds à gogo. Au rayon chaussures, elle n'achètera que très rarement des baskets, pour ne pas dire jamais ; mais plutôt des escarpins de quinze centimètres de talon, compensés ou aiguille, ainsi que des cuissardes, jamais de bottes sous le genou, bref, que des choses que personne ne saurait porter à part elle.

My Story

Ah ! la Californie, ces plages de sable fin, son soleil de plein été... C'est dans cet endroit magnifique qu'Élisabeth Daniels vit le jour, entre son père coréen et sa mère américaine, de laquelle elle hérita du nom. On peut dire d'eux qu'ils étaient le prototype des familles heureuses, des villas aux palmiers, des piscines luxuriantes, de l'argent, de l'argent, de l'argent... La mère Daniels, une jeune femme très soucieuse de son apparence, ne tarda pas à témoigner à sa fille une affection peu commune :
« C'est bon, plus de photos ? Bon aller, débarrassez-moi de ça que j'appelle mon coatch fitness. »
Et voila comment, très tôt, le jour même de sa naissance, Élisabeth apparu dans la presse. Et comment, deux semaines plus tard, sa mère avait retrouvé la ligne, ne portant plus aucune trace de cette naissance coup de pub.
Pour un coup de pub, c'était un coup de pub, et plutôt réussi d'ailleurs ! Madame Daniels, styliste people dont la popularité avait chuté en 1990, revenait sur les podiums et sur les tabloïds, s'exhibant tranquillement en maman modèle. Dans le même temps, les ventes de sa nouvelles collection grossissaient à vue d'œil et il pleuvait des dollars sur la petite famille parfaite. L'objet de cette reconquista n'était autre qu'Élisabeth. Était-ce bien sain ? Pas sur. La gamine s'habituait aux photographes et même, elle y prenait gout, prenant sagement la pose auprès de sa maman chérie. Pendant ce temps, son père, un coréen sans prétention, s'occupait de tout l'envers du décors : il éduquait la petite, l'emmenait discrètement au cinéma, bien cachée sous d'énormes lunettes...
La petite fille grandit, devient une vraie fille, va à l'école. Les années passent, la côte de popularité de sa mère ne décroit pas, au contraire. Encore plus exhibée, toujours plus exhibée... l'œil mesquin des paparazzis la scrute, ne la quitte pas d'une semelle lorsqu'elle est avec sa mère. Il lui faut sourire sans relâche, regarder avec pétillement celle qui n'a plus de mère que l'appellation. Car oui , avec le temps, Madame Daniels néglige sa fille, comme elle l'a toujours fait. Ne serait-elle, à ses yeux, qu'un outil de vente ? C'est la question qui agite le père d'Élisabeth, de plus en plus fort, de plus en plus souvent. Sa fille chérie n'est aimée que de lui, il en est sur. Est-il lui-même aimé de sa femme ? Non, il le sait, il n'a jamais été, lui aussi, que l'outil, le vrai mari de Madame Daniels n'est nul autre que son travail et son amant, son argent. Pourquoi reste-t-il ? Élisabeth. Il doit rester pour Élisabeth.
Mais la fille devient une préadolescente, fréquente d'autres enfants pourris gâtés, prend des initiatives vis-à-vis des journaux. Le torrent du luxe n'est pas prêt de la quitter. À onze ans, elle fait sa première teinture, à douze, sa première « vraie » séance photo – pour sa mère bien sûr. On s'extasie sur cette pseudo-relation mère-fille. Et derrière, le père s'exaspère, prend une décision. Il veut partir, emmener Liz loin de tout ça, toute cette superficialité, tout cet argent est nuisible pour sa croissance, il en est certain. Mais il n'imposera rien à sa fille. Il veut qu'elle fasse son choix.
C'est donc un ultimatum que pose monsieur son père à Élisabeth, alors âgée de treize ans. Évidemment, il n'aurait pas du le poser, c'était perdu d'avance. « C'est ta mère ou moi. ». C'est le luxe ou l'amour. La réponse fût sans appel. Le luxe, le luxe, encore le luxe, elle ne le quitterai pas. Son père qui n'a jamais été que le géniteur "hors-champ", s'en va. Certes, il est conscient du danger auquel il expose Élisabeth, mais c'est comme ça, elle a fait son choix. Elle n'est plus sa fille après tout, elle ne l'a jamais vraiment été.

« Où est ma robe ? OÙ EST MA FOUTUE ROBE ? »
La jeune femme s'insurge, hurle à longueur de temps. Insupportable. Un véritable enfer pour les cuisinières, femmes de chambre, bonnes, servantes. « Oui mademoiselle Daniels. » « Ne vous en faites pas mademoiselle Daniels. » « Nous faisons de notre mieux Mademoiselle Daniels. » Mais mademoiselle Daniels est un enfer, la digne héritière de son infernale mère, diront les connaisseurs. De l'extérieur, toujours le même aspect : oh, les délicieuses enfants, elle vont à un meeting sur les sans-abris, oh, la gentille Madame Daniels, elle donne trois pour cents des bénéfices de sa dernière vente à Enfance démunie. Oui oui, gentille Madame Daniels, gentille Mademoiselle. Adorables, vraiment. De l'extérieur.
Mais à l'intérieur, à l'intérieur de l'intérieur, là où même les plus proches ne savent rien, tout est différent. Les relations entre Liz et sa mère se dégradent. Crise d'adolescence ? À quatorze ans, Élisabeth semble ne avoir assez des manœuvres de sa vénérée mère. Elles se disputent. S'hurlent dessus, à celle qui fait fuir le plus d'oiseaux, qui fait le plus trembler les murs. Elles s'insultent. Et ça empire, ça empire toujours, elles ont du mal à garder la face devant les photographes qui commencent à se douter de quelque chose. Pas si parfaites ? Il ne faudrait surtout pas que ça se sache. Tout chuterai. Plus d'argent, plus de luxe. Plus aucune raison pour Lisbeth de rester ici.
Mais l'imprévu surgit – alléluia ! La cousine éloignée d'Élisabeth, une mannequin coréenne de tout juste vingt ans, est retrouvée morte à Paris. Le corps, rapatrié à Séoul, va être enterré là-bas. Madame Danels saute sur l'occasion : expédier Élisabeth dans le pays de son père sous prétexte de cet enterrement et en profiter pour lui faire prendre l'air. Il suffit de l'inscrire à l'école élitiste de Yu Gwan Sun. Ainsi, les tabloïds seront ravis : Élisabeth Daul en deuil en Corée, pendant ce temps, elle et sa mère prendront des vacances l'une de l'autre. De retour auprès de son père, Élisabeth va-t-elle se séparer du luxe ?

Pas sûr...

More About Me

› Famille « Ses parents, Madame Daniels et monsieur Chung, jamais officiellement ensemble. Elle ne s'entend vraiment ni avec l'une ni avec l'autre. De sa mère elle a eu le luxe et l'a gardé, de son père elle a eu l'amour mais ne l'a jamais rendu.
› Signe(s) Particulier(s) « Lorsqu'elle est stressée, Lisbeth dessine sur un petit carnet de brouillon qu'elle porte toujours sur elle. Elle met des cœurs à la place des points sur les i.
› Vos ambitions pour le futur « Reine de Yu Gwan Sun ? Pas vraiment une ambition, mais elle ne dit pas non. Sérieusement, elle aimerait devenir dessinatrice, mais pas de mode, de bande-dessinés. Mais elle ne l'a jamais avoué à quiconque, de peur de ne pas être prise au sérieux.
› Votre secret « N'a jamais eu de relation de plus d'une semaine avec un garçon et n'a jamais couché avec l'un d'eux. Mais, avec une fille, si...
› Votre avis sur le blog de Gossip Girl ? « C'est marrant, inventif, plutôt drôle de l'extérieur, je pense que c'est encore plus drôle de l'intérieur – ou peut-être pas ? Tenir ce blog serait tout à fait le genre de chose que je pourrais faire.
› Et sur elle ? « Bah, c'est une enfant frustrée de ne pas avoir eu la popularité souhaitée... Non sincèrement je pense qu'elle n'est pas très populaire, alors elle s'acharne sur ceux qui le sont.

Liz

Hors RPG

› Prénom ou Pseudo « Lola-Kim
› Âge « … 12 ans.
› Comment avez-vous découvert le forum ? « Takuetsu no Gakuen… vous avez une modotte là-bas, nan ?
› Qu'est ce qui vous a attiré chez lui ? « Le graphisme, le contexte, Gossip Girl…
› Un conseil pour l'améliorer ?« Aider les nouilles à trouver des images ?
› Avez-vous lu le règlement ? « Il me semble… Code OK by Anna

› Autre chose ? « Non.

Bienvenue parmi nous \o/
Le code est bon. J'ai hâte de pouvoir lire ta fiche

Bon courage <3

Merci n_n

Ne t'en fais pas, je me dépêche. Je déteste avoir une fiche Under Construction ><

Invité

Wow, bienvenue ! Liz semble être une fille originale qui en jette, hâte de la voir progresser ! :D

Élisabeth Daul a écrit:: › Un conseil pour l'améliorer ?« Aider les nouilles à trouver des images ?

Comment ça ? X'D

Et ben, je voulais prendre un personnage asitatique, et en belle ignorante, ben j'en ai pas trouvé ^^'
Donc, peut-être que vous devriez mettre en place un topic avec des liens de forum de graphisme, noms de célébrités libres, etc... Bon après, je ne nie pas être une cruche sur tout le continent oriental ><

Merci pour le compliment au fait =D

Bienvenue sur le forum =D

J'essaie de lire ta fiche dans la soirée à moins que quelqu'un passe avant moi =p Désolé du retard !

Aucun problème n_n Tu n'es pas obligée d'être une no-life :p
*ne s'auto-vise pas... ><*

Arf encore désolé du retard !
Alors sur ta fiche rien à redire si ce n'est juste une question, Daul, ton nom de famille, il te vient de ton père qui est Coréen ? (c'est parce que ça fait pas trop Coréen comme nom de famille en fait >.<) D'ailleurs, si par ta cousine éloigné retrouvé morte à Paris tu sous-entends le mannequin Kim Daul, en réalité son nom de famille est Kim et non Daul (qui est son prénom ) ^^"

Aarg. Quand je disais que j'y connaissais rien...

Bah, vu qu'il y a déjà plusieurs Kim sur le forum et que ça ferat louche que je sous-entende pas Kim Daul, ben je crois que je vais choisir la facilité et prendre un nom bien américain XD

Je corrige ça desuite.

Okip! Bah tu sais Kim c'est super courant en Corée =p D'ailleurs je vais suivre ton conseil et je vais faire un post avec des sites de célébrités Asiatique pour aider les nouveaux membres =)

Édité ! J'ai remplacé Daul par Daniels, c'est pas foncièrement différent mais bon ^^' PAr contre il va falloir changer mon nom d'utilisateur du coup :p

Okip! Je modifie ça et te valide !
Bon jeu sur le forum =)

G o s s i p . G i r l ▌Âge RP : unknow ▌Pix' :

Explications