Vargas
Azulaika

feat - Maite Perroni Beoriequi -

© Crucyx

Identity › Nom(s) « Vargas › Prénom(s) « Azulaika › Surnom(s) « Azul › Âge « 17 ans, née le 13 octobre 1992 › Lieu de naissance « Madrid, Espagne › Nationalité/Origine « Espagnole › Statut « Étudiante › Sexualité « Hétérosexuelle › Situation amoureuse « Célibataire

Who I Am




“ caractère


Comme toute fille de bonne famille, Azulaika se doit être discrète et aimable, avoir toujours un sujet de conversation comme le temps et la santé, ne jamais faire preuve de personnalité propre et suivre sa famille partout dans le monde. Voilà la comédie qu'elle joue tous les jours où elle doit faire acte de présence dans une de réceptions de son père. Et puisqu'elle veut que son père et sa mère soient fiers d'elle, elle le fait. Mais en réalité Azul' est un esprit libre, elle aime très peu être attachée à quelque chose ou quelqu'un -elle n'a pas eu de relations du coup- et faire comme tout le monde. Et ses parents le savent très bien, et comme ils ont été jeunes aussi ils lui donnent assez de liberté pour qu'elle ne fasse pas de siennes en cachette. Ce qu'elle remercie grandement. Ainsi, la maison est en paix. Il n'y a pas une voix plus haute qu'une autre, pas de cris, pas de bagarres pour de conneries sans fins. Azulaika obéit, pas au pied de la lettre cela dit, et elle est tranquille. Elle aime trop ses parents pour leur causer un soucis quelconque. En effet, elle garde toujours ses problèmes pour elle, enfermés à clé dans sa chambre à jamais.

La vraie Azulaika est plutôt solitaire, elle peut paraitre froide au premier coup, vivant dans son petit monde bien à elle, c'est pour cela qu'on a toujours l'impression qu'elle ne nous écoute pas, mais c'est tout le contraire. Elle sait écouter, d'ailleurs c'est une de ses plus grandes qualités: sans se rendre compte, elle devient vite la "conseillère principale" du lycée où elle arrive. Pas qu'elle donne de bons conseils, cela dépend, mais comme elle écoute en silence les gens ne demandent pas plus. Paradoxalement, elle n'aime pas trop cet aspect de sa personnalité: quand ça sera son tour à elle de se faire entendre? Mais pour cela il va falloir s'ouvrir au monde et elle a du mal. Quoique, en la voyant sourire avec les autres on ne dirait pas que cette fille est plutôt renfermée. Cela dépend, oui voilà, elle s'adapte et si elle ne parvient pas à le faire elle se renferme et se protège. Elle ne veut pas être blessée, elle a peur. Un mur de glace? Du tout! Quand on voyage autant qu'elle, s'arrêtant pas plus de cinq ans dans une même ville, on apprend à ne pas s'attacher à ne rien attendre des autres. Elle n'aime pas que les autres se mêlent de sa vie ou qui tentent de lui imposer leurs idées. Peut-être qu'elle se renferme sur elle-même, mais elle est parfaitement capable de se défendre toute seule, physiquement comme psychologique. On l'attaque, elle répond. Si elle a quelque chose à dire elle le fera en face ou le gardera pour elle, même si elle préfère ne pas avoir des problèmes. Par contre, avec son petit côté sauvage elle a du mal à se contrôler.

Elle aime savoir, connaitre, avant de juger et se forger une opinion toute seule. Elle a vu du monde, ce n'est donc pas facile de la manipuler ou lui faire croire des histoires, même si elle reste un tantinet naïve par moments. Et peut-être un peu trop gentille quand on la connaît vraiment. Par contre, il n'y a pas que gentillesse chez elle. Elle est du genre rancunière, mais plutôt en silence. Elle peut passer des heures entières dans son coin à imaginer de plans tordus pour se venger. Assez enfantin comme trait de caractère, avouons-le. Ceci plus son spontanéité naturelle lui donne un air de gamin qu'elle ne cache pas toujours: elle est habituée à être prise pour une gamine sans cervelle et quand elle devient sérieuse tout d'un coup elle produit une réaction de surprise chez les autres qu'elle s'amuse à lire. Bah oui, elle est bien capable entretenir une conversation sérieuse quand il le faut, que ce soit sur l'art ou les mouvements écologiques.

Cette fille de diplomates est avide de savoir, connaissances. Elle aime apprendre et du coup, pour satisfaire un plaisir personnel, elle parle au moins cinq langues. Certaines par obligation, d'autres par plaisir. Elle s'intéresse aussi à la littérature, chaque fois qu'elle arrive dans un nouveau pays elle tâche d'apprendre non seulement la langue, mais tout ce que se cache derrière soit les grands auteurs, les peintres, les musiciens... Et la Corée du Sud est un nouveau territoire pour elle. D'ailleurs, elle ne domine pas encore la langue: elle a ses difficultés, c'est la première fois qu'elle apprend un langage asiatique et cela change de l'anglais ou l'italien! Mais son accent est tout à fait charmant.
“ physique


Grande, élancée, brune aux yeux marrons chocolat et à la peau bronzée. Il est clair que dans un pays comme celui-ci Azuleika ne passe pas inaperçue, et pourtant elle est tout à fait banale!

En effet, elle n'est pas si grande que ça, elle n'atteint pas le mètre soixante-quinze, sa taille est donc moyenne, c'est juste qu'elle possède de longues jambes ce que donne la sensation qu'elle est plus haute. Elle n'est pas spécialement mince, heureusement vous dirait-elle. Son poids doit tourner au tour de cinquante-neuf ou soixante kilogrammes, ce qui est correct pour avoir une corpulence normale, mais comme elle pratique quelques sports pour passer le temps on ne trouve pas un seul indice de graisse dans son corps. Ou alors il faut bien chercher. Et grâce à ça, elle n'entretient pas seulement son corps ou a une bonne santé, mais elle a aussi de la force: tandis que les autres filles de diplomates se disputaient le plus beau cheval de l'écurie, Azul apprenait un peu de capoeira ou de l'escrime. Enseignements qu'elle trouvait beaucoup plus intéressants et qu'elle a gardé l'habitude de s'entrainer au moins une fois par semaine.
Ses cheveux sont longs, enfin maintenant, ils peuvent très bien adopter une nouvelle coupe plus futuriste demain, mais la demoiselle a fait la promesse d'arrêter de les teindre et de les couper elle-même. Naturellement noirs, ils gardent encore quelques traces de l'ancienne teinture acajou d'il y a plusieurs mois. Azul' n'est pas du genre à passer des heures devant le miroir, mais elle accorde un soin spécial à ses cheveux, c'est pour cela qu'elle a arrêté les expériences. Une frange coupée au carré, si on peut le dire ainsi, cache ses yeux marrons. Doux et rieurs, mais méfiants et froids lorsqu'elle sent que les affaires vont de travers. Ses lèvres sont plutôt pulpeuses, d'un rose pâle où un sourire entre enfantin et mystérieux se dessine presque tout le temps.

La jeune métisse n'est pas du genre à se maquiller chaque matin pour sortir en ville, à peine si elle se brosse les cheveux, mais elle se lave quand même le visage avec de l'eau fraîche! Côté vestimentaire: tout ce que est pratique lui sert, préférant tout de même les pantalons aux jupes et les Converses aux talons. Mais lors de soirées elle fournit un petit effort pour apparaître comme sa mère voudrait qu'elle le fasse toujours, c'est-à-dire en robe rose clair, cheveux coiffés, maquillage léger....

My Story




Raconter la biographie de quelqu'un n'est pas affaire facile, mais celle d'Azulaika c'est autre chose: elle se résume très facilement à un seul mot: voyage. Mais enfin, puisqu'il le faut.
Avant qu'elle soit arrivée au monde, ses parents se sont rencontrés à Paris, lors d'une soirée. Son père, à l'époque jeune secrétaire de l'ambassadeur à la carrière très prometteuse, tomba amoureux de héritière d'une grande marque française. Tellement cliché. Un autre mot pour définir la vie de leur future enfant. Aucun problème survint pour que le jeune couple ne puisse pas avoir l'heureuse vie qu'ils méritaient. Après leur mariage ils s'installèrent à Madrid, dans un grand appartement au cœur de la ville, pas loin de la maison de grands-parents paternels. Entre temps, Carlos, le père, fut promu ambassadeur et sa destination était le Brésil, mais sa femme refusa de l'accompagner. Elle attendait un heureux évènement et ne voulait pas prendre des risques en voyageant aussi loin. Neuf mois plus tard, soit le treize octobre de mil neuf cent quatre-vingt douze, un bébé vint agrandir la famille. Azulaika. Seule et unique enfant. La famille pouvait enfin voyager ensemble n'importe où.

A chaque nouvelle destination, sa mère cherchait la meilleure école de la ville pour que son petit amour ait une bonne éducation et commence à fréquenter les futurs dirigeants du monde. Ce qui est normal vu son statut social. Du coup, la petite devait suivre des cours en plus, apprendre les bonnes manières, mémoriser l'étiquette de chaque réception, faire des efforts pour contrôler les envies de tout jeter par la fenêtre et aller jouer ailleurs. Elle apprenait à coudre et un peu d'art floral, ce qu'elle trouvait très vite ennuyant et démodé, qui allait être impressionné par le dernier coussin qu'elle avait cout? A part sa grande-mère bien sûr... Son père se mit en tête que la petite devait jouer au moins un instrument de musique, pour accompagner les rires des soirées. L'enfant se sentait comme exploitée, mais voir le visage de ses parents était la meilleure de récompenses! Même mille fois mieux qu'un paquet de bonbons. Elle ne protestait donc pas, elle obéissait. Elle était petite, elle devait faire ce que ses parents disaient, même si c'était répétitif et fastidieux.

L'histoire se reproduisait à chaque déménagement, seulement qu'à l'âge de quinze ans Azul' commença à expliquer à ses parents, calmement et si cela ne marchait pas à sa manière, qu'il était grand temps pour elle d'arrêter ces enfantillages. Elle était toujours mineure, d'accord, toujours leur enfant, d'accord, mais pardi elle n'avait plus cinq ans! Elle pouvait très bien se débrouiller seule, elle n'avait plus besoin d'un professeur particulier pour maintenir le niveau, d'une tutrice pour la réprimander à chaque mot mal dit, d'être suivie partout par les hommes de son père. Elle avait l'âge de choisir ce qu'elle voulait faire, au du moins les activités qu'elle exercerait et les gens qu'elle fréquenterait. Mais plus jamais les après-midis passées à lire à haute voix pour améliorer la prononciation, plus jamais les fichus cours de danse classique alors qu'elle arrivait à peine à faire un grand écart correct.... Basta!
L'agenda de la jeune fille changea radicalement. Elle garda quand même quelques activités comme l'escrime ou le piano, mais l'équitation fut remplacée très rapidement par quelque chose de plus excitant, la lecture fut placée au deuxième plan. Sa vie tournait maintenant à son rythme. Bien sûr, elle respectait les normes de la maison et participait aux cérémonies et toutes ces choses, habillée comme sa mère voulait -robe aux couleurs claires évidement-, mais elle se sentait jamais à l'aise. L'adolescente fréquentait aussi des gens d'autres milieux, pourquoi se réduire à un cercle alors que les autres peuvent apporter aussi quelque chose à sa vie? Elle comprit que loin de la résidence tout n'était pas un conte et qu'elle devait se sentir très heureuse d'avoir la famille qu'elle avait. Sa mentalité opta une nouvelle vision, elle jugeait après avoir vu, elle acceptait après avoir connu.

A cet stade vous vous demandez sans doute où elle en était avec les relations, qu'elles soient amicales comme amoureuses. Néant. Aucune. Zéro. Elle avait des connaissances, bien entendu, de filles et fils de diplomates comme elle, de gens de l'école et du quartier, de jeunes d'ailleurs qu'elle avait rencontré lors de ses promenades. Mais pas d'amis, personne qui pouvaient prétendre à ce titre. Azulaika avait et a toujours du mal à s'ouvrir, de laisser les autres entrer dans sa vie, partager. Le fait qu'elle ne restait pas plus de quatre ans dans une même ville y jouait un rôle très important. Pourquoi forger de liens s'ils vont se déchirer en un rien de temps? Elle n'était pas sûre de pouvoir revoir ses camarades un jour, elle préférait ne pas donner de faux espoirs. Sauf que là, cela faisait quand même cinq ans qu'elle était à Buenos Aires, Argentine, et elle a quand même fait quelques amis...

Buenos Aires, Argentina, Mai 2009.

- Quoi? Maintenant tu dis qu'on va changer de pays? Après avoir dépassé notre record? Et on part où? On rentre en Espagne?

La famille Vargas se trouvait dans leur résidence de Buenos Aires quand la tête de la famille déclara que dans un an ils allaient déménager. Il avait demandé le changement quelques semaines avant, avec pour préférence un pays européen ou asiatique, une ville où ils n'étaient pas encore allés et il avait reçu la réponse le matin même.

- Assis-toi Azul. Oui, on déménage, tu devrais être habituée après tout ce temps. Et non, on ne rentre pas en Espagne, mais en Corée.

- En Corée? Laquelle de deux? Enfin, je suppose qu'au sud..... Mais tu te rends compte? C'est à l'autre côté du monde! Non, je suis pas d'accord, je rentre avec grande-mère!

Elle ne savait pas pour quoi, elle avait espéré en silence que soit ils restaient pour toujours en Argentine, soit ils retournaient à Madrid. Sa mère semblait heureuse, elle avait envie d'aller ailleurs, le vieux continent était si ennuyeux lorsqu'on le connaissait si bien. Et puis, l'ambassade à Séoul n'était ouverte que depuis très peu et elle pouvait étudier le marché asiatique pour faire une proposition à son père. Il y avait qu'Azul qui n'était pas vraiment convaincue, mais une expérience de plus ou moins, elle profiterait pour apprendre d'avantage et connaître une langue totalement différente de l'espagnol était amusant.

- D'accord! Cherche-moi un prof de coréen au moins.

Séoul, Corée du Sud, Septembre 2010

L'avion venait d'atterrir, une jeune fille brune regardait l'aéroport depuis le hublot avant de se décider à descendre, le reste de sa famille l'attendait déjà en bas des escaliers. Un homme plaçait les valises dans le coffre d'une voiture noire. La jeune haussa un sourcil, son père avait par habitude de conduire lui-même les voitures, pourquoi laissait-il cette habitude qu'il appréciait tant? Elle remarqua que la voiture avait un petit drapeau de l'Espagne accroché, l'image lui rappela la coupe du monde de football. Soupirant elle se laissa trainer jusqu'à l'intérieur du véhicule, on aurait dit presque une limousine, sa mère à côté n'arrêtait pas de téléphoner les gens de la maison pour leur donner des ordres: ils organisaient une réception le soir-même. Parfait, à peine arrivée qu'elle devait déjà endosser la petite robe rose préférée de sa mère.

More About Me › Famille « J'ai un père, une mère et un chat. Eh oui, je suis fille unique, ce qui est très normal dans les familles diplomatique: un seul enfant, moins de problèmes. Mon père, ambassadeur de l'Espagne en Corée, est très protecteur, quant à ma mère, fille unique d'un grand personnage de France, est tout le contraire. Je suis le centre d'équilibre de cette famille instable. › Signe(s) Particulier(s) « J'ai l'habitue de jouer avec une mèche de mes cheveux à n'importe quel moment ou laisser planer mon regard un peu partout sans vraiment voir ce que se passe autour de moi, je donne l'impression d'être toujours ailleurs. Mais je suis bien sur Terre. › Vos ambitions pour le futur « A vrai dire je ne sais pas. Déjà, je dois finir le lycée, vient ensuite la fac ou une grande école, de quoi? Aucune idée. Mon père tentera, comme toujours, de me guider, je finirais comme lui sans doute. › Votre secret « Je suis une fille modèle, quel secret pourrais-je cacher? Si ce n'est ma propre personne. › Votre avis sur le blog de Gossip Girl ? « Je n'ai pas encore eu le temps d'y jeter un coup d'oeil, je dois d'abord trouver l'adresse. › Et sur elle ? « Je viens d'arriver, quelle opinion pourrais-je avoir sur quelqu'un qui se mêle des affaires des autres et le publie?

© Crucyx

Tsubaki Anna a écrit:

Décidément, c'est la "prolifération" d'européens en ce moment 8D

Bienvenue sur le forum.
C'est vrai qu'il y a beaucoup d'européens sur ce forum =o
Mais c'est cool la diversité =)
Bonne continuation ^^

Bienvenue sur le forum !

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